Le Beaujolais, Le Château Moulin Favre
Vendredi 6 novembre.
Levés aux aurores, nous sommes en Beaujolais, c’est un lieu incontournable au mois de novembre à l’approche du Beaujolais Nouveau, cependant ce vignoble recèle aussi un vrai terroir et des vins de grandes qualité si l’on veut se donner la peine de le parcourir.
Un “vrai terroir” aux paysages magnifiques.
Les “Cadoles” du Beaujolais.
Notre première visite est pour le Château Moulin Favre, où le sourire de Céline nous accueil, une charmante femme d’un dynamisme et d’une gentillesse communicative, Armand son mari est plus sur la réserve mais nous sentons chez lui l ‘amour de son terroir et sa volonté de faire des beaujolais d’exception. Il est comme les paysans de chez nous, observateur, affûté et pugnace.
Céline et son Gamay, avec sa taille en “gobelet”.
Petite notion de taille,
avec Armand et ses Gamay.
La terre est basse mais généreuse.
Leurs vins sont à leur image, il ne faut jamais oublier que dans une bouteille il y a le caractère de celui et celle qui le travail. Ils prennent le temps avec nous d’ échanger, de nous faire visiter, de nous expliquer, de nous écouter, de nous faire comprendre, ils sont heureux de nous faire partager leur pays et leurs Beaujolais, cela se voit et se ressent.
Du sourire,
du travail,
du Beaujolais,
du plaisir.
Je goûte chez eux des vins remarquables, je suis surpris par l’élaboration de leurs Gamay, de l ‘engagement qualitatif, de la rondeur et du tempérament de leur production.
La qualité du travail,
l’acharnement à faire beau,
bien et bon.
Après avoir chargé notre véhicule nous quittons Céline et Armand en ayant le sentiment et la certitude d’avoir croisé de « l’humain » dans ces vins là.
Dernier “coup d’œil ” sur des paysages d’exceptions.