Vin à suivre ; le Quincy, retrouvez le sur la boutique.
Aucun produit dans votre panier
 
Cave à vins traditionnelle à Portbail dans la Manche en Normandie
02.33.94.31.52 - 06.47.13.11.34

Blog

Dégustation

Dégustation

La dégustation, c’est comme le football : tout le monde peut y jouer.

Les Français n’en ont pas le monopole, ni les professionnels du vin, ni les clubs d’amateurs réunis pour des grands-messes de dégustation verticale… ou horizontale… ou vertico-horizontale. Du « Goûtez-moi cette petite côte, vous m’en direz des nouvelles »… la dégustation se prête à des variantes infinies. Sauf qu’il s’agit chaque fois de goûter un vin pour le juger…

« Sur la langue, le vin parle », écrivait le Bourguignon Pierre Poupon. Il lui arrive même, parfois, d’être très bavard. Il énumère ses arômes comme un général de Napoléon ses batailles. De ses bouquets, il fait de la poésie ; de ses velours, taffetas et satins, des robes ; de son âge, une geste ou une philosophie… Même après avoir été bus, ils continuent de jacasser. Ou de souffler au dégustateur une trouvaille comme celle-ci : « j’en connais de meilleurs qui ne valent pas celui-là ! »…

Déguster, c’est deux fois jouir. Jouir d’avoir à sa disposition les moyens d’explorer un vin ; jouir des vertus de ce vin. Rarement solitaire chez les amateurs, la dégustation est un plaisir partagé. Toute la science, tous les travaux, tous les soins, toutes les fatiguent, préparent et annoncent l’heure de la dégustation, sommet épiphanique de la rencontre de l’homme et du vin.

Allez donc savoir pourquoi il y a tout de suite moins de plaisir lorsque la dégustation s’appelle examen organoleptique !

(Extrait du dictionnaire amoureux du vin, Bernard Pivot)

 

Quand je déguste et non pas quand je trinque donc que j’endure, je suis toujours seul. Non pas au sens premier, il peut y avoir du monde dans la même pièce mais je suis seul. L’action de déguster se situe au fond de nous. Tellement de jardins secrets, de mémoires, d’expériences vont remonter à la surface à l’approche de l’ôte viticole à déguster.

 

Subjectif, me direz vous, sans aucun doute. Notre mémoire au fil des ans enregistre et enregistre encore, bien que, plus nous vieillissons, plus notre mémoire fait défaut. Mais, malgré tout, elle place dans des tiroirs les sensations, les parfums, les goûts et tant d’autres choses. Quand nous dégustons, ces tiroirs s’ouvrent et leur contenu nous ramène à « nous ». Je tourne en rond, c’est peut-être de la philosophie, en tous les cas c’est de l’humain.

 

Pourquoi aimons nous ou n’aimons nous pas ? Tout est dans nos tiroirs…. Les tiroirs de notre mémoire….. Qui s’ouvriront à la Dégustation.

 

 

 

 

 

 

 

Champagne

Champagne.

Pour apprécier le mieux possible… …Il faut être à jeun ou avoir pour le moins le palais dégagé, tapissé de neuf. C’est pourquoi, délaissé au dessert, il s’est imposé à l’apéritif… …Vin magique, boisson bénéfique, porte-bonheur, le champagne accompagne les étapes importantes et les principaux événements de la vie… …Tu as réussi ton bac ? Champagne ! Tu as enfin ton permis de conduire ? Champagne ! Tu as vingt ans ? Champagne ! Vous allez baiser ? Champagne ! Vous baisez ? Champagne ! Vous avez baisé ? Champagne ! (enfin, pas toujours). Tu as décroché un CDI ? Champagne ! Tu as ta nouvelle voiture ? Champagne ! Vous êtes enceinte ? Champagne ! (enfin, pas toujours). L’enfant est né ? Champagne ! Fierté et bonheur…

Arrivant inopinément chez des amis ou des relations de travail, je préfère me voir offrir de l’eau, un jus de fruits, ou même un Coca-Cola, c’est dire ! Plutôt qu’un malheureux champagne qui pèle de froid depuis des lustres, debout dans la porte du réfrigérateur. De même, les donneurs de cocktails ou les organisateurs de buffets, qui cèdent à la mode du champagne obligatoire et qui n’ont pas les moyens… …Devraient limiter leur offre à des jus de fruits, à des boissons gazeuses et à des alcools plus modestes…

La marquise de Pompadour avait raison d’affirmer que le champagne « est le seul vin qui laisse une femme belle après boire » .

En effet, un excès raisonnable de bulles lui donne une légèreté, une aimable liberté, quelque chose de vif, parfois d’effronté dans le regard… … « De la beauté des femmes avant, pendant et après le champagne » me paraît être un sujet à débattre flûtes en main…

(Extrait du dictionnaire amoureux du vin, Bernard Pivot)

 

 

Quand on me propose vulgairement : « tu veux des bulles », je préfère m’abstenir de répondre plutôt que d’être incorrect.

Je reste persuadé qu’il se cache derrière le mot « Champagne » un côté festif certes mais aussi pompeux, et qu’à défaut de boire du bon Champagne, nombreux sont ceux qui proposent une étiquette. Ils ne sont pas si abondants, les grands, les beaux, les bons, les fins, les délicats, les vrais.

 

 

 

 

 

Ah !!! Le Champagne à défaut d’être toujours le meilleur, de plaire ou de déplaire, il fait pétiller les langues car il a ce côté sacré, un rien énigmatique.

 

 

Toutes ces bulles enfermées par on ne sait trop quel procédé… J’entends tellement de choses à son sujet… j’y vois parfois dans sa bouteille… N’en déplaise aux Champenois que je respecte…

Beaucoup de…

Disons de…

Enfin, vous m’avez compris…

D’effervescence !!!

 

 

 

Caviste

Caviste.

Autrefois, les grands restaurants distinguaient bien le métier de caviste de celui de sommelier. C’est de ce caviste que quelques croquis sont proposés ci-après.

Le caviste est le spéléologue du vin…

…Le caviste sait bien qu’il finira comme ses bouteilles : sous terre, étiqueté, nommé, millésimé. Mais, sauf improbable résurrection, lui ne remontera pas…

…A ma connaissance, même dans les caves du Vatican, aucun caviste ne s’est jamais indigné que, comme au final du french cancan, toutes les bouteilles lui montrent leur cul.

Certains cavistes sentent le bouchon.

…Ce que les sommeliers disent aux clients, les cavistes le murmurent aux bouteilles…

…Dans les grands restaurants, les cavistes étaient très malheureux de devoir laisser ouvrir par les sommeliers les bouteilles sur lesquelles ils avaient veillé pendant de nombreuses années. On dit que c’est par économie que les cavistes font maintenant office de sommeliers, ou les sommeliers de cavistes, alors que c’est, à l’évidence, par bonté…

(Extrait du dictionnaire amoureux du vin, Bernard Pivot)

Caviste… Je pourrai écrire pendant des heures, c’est ma passion. Car ce n’est pas un métier. Ceux qui pensent qu’il s’agit d’enfiler un tablier, de tenir une bouteille dans une main et un tire-bouchon dans l’autre pour exercer, se trompent.

Un Caviste connaît ses producteurs, il les visites, les observe, les écoute et peut ainsi faire son choix.

 

Un Caviste connaît ses vins, pour les avoir goûtés, regoûtés, sélectionnés et pour avoir vu et senti les vignes d’où ils proviennent.

Un Caviste propose des vins à maturité et de grande qualité, non pas des millésimes et des jus dont les bouchons eux même auraient honte.

 

 

Un Caviste connaît les terroirs, la géographie, la géologie, la typologie, le climat d’où proviennent ses vins.

Un Caviste respecte la qualité et le travail du vin en rapport avec son prix, il ne fait pas de tarifs tellement bas et de promotions que l’on est en droit de se demander ce que contiennent les bouteilles.

 

Un Caviste n’aime pas les lumières vives et le bruit.

Un Caviste c’est un curieux, toujours en quête de la perle qui alimentera son « Graal ».

Un Caviste c’est un virtuose du vin et c’est aussi :

Caviste c’est un Artisan,

Caviste c’est du respect,

Caviste c’est devenir mordu,

Caviste c’est être captivé,

Caviste c’est un ardent,

Caviste c’est échanger,

Caviste c’est transmettre,

Caviste c’est sûrement un peu fou,

Caviste c’est être amoureux.

 

La Cave

La Cave.

 

Entrer dans une cave que l’amour du vin a tapissé de bouteilles, c’est pénétrer dans un monde de silence, de l’obscurité, de l’impassibilité.

Nous voici au royaume des allongées, des pétrifiées, et, pour peu que nous ayons récemment honoré nos morts, il nous semble qu’en passant du caveau à la cave nous continuons d’explorer les excavations du Grand Secret…

 

 

La mémoire de la cave a toujours été sous-estimée par rapport à celle, tant exploitée dans les romans, du grenier.

La grande supériorité de la cave sur le grenier, c’est qu’en plus du passé qu’ils détiennent l’une et l’autre, la cave a de l’avenir…

Quoique protégé de la neige et du brouillard, le peuple de la cave n’est jamais surpris par Noël et le jour de l’an. Deux ou trois degrés en plus, et c’est l’été ; deux ou trois degrés en moins, et c’est l’hiver. Né du rythme des saisons, le vin en a gardé le souvenir. Ayant des repères chronologiques, il se prépare, chaque fin d’année, à fêter l’avènement du même petit jésus que l’hiver précédent, et du nouveau millésime…

 

Entendons-nous bien : plus votre cave se rapprochera de la cave idéale, mieux vos vins se porteront. Mais, si votre cave n’est pas parfaite, ce n’est pas un malheur… Les vins sont plus costauds que l’on ne croit. Ils ne résisteront évidemment pas, à la longue, au voisinage d’un radiateur de chauffage central, aux effluves de la cuve à mazout, de fromages fermentés et de légumes pourris, ou encore aux trépidations du métro. Mais, hors ces agressions caractérisées, le vin s’accommode plutôt   bien de conditions de vie qui exigent de lui de la santé et du caractère…

(Extrait du dictionnaire amoureux du vin, Bernard Pivot)

 

1976, cette année sonne comme une des plus chaudes de notre mémoire, on en parle en ces termes : « c’est l’année de la sécheresse ». Celle qui a fait transpirer les thermomètres.

Pour ma part, c’est l’année ou j’allais passer dix minutes à la cave pour me rafraîchir. Surprise ! non, confidence envers mes lecteurs.

J’avais, à cette époque, une dizaine d’années. Je passais une partie de mes grandes vacances au célèbre village de Chablis chez mes grand-parents maternelle.

 

Ces derniers disposaient comme dans toute maison bourguignonne qui se respecte, d’une cave voûtée avec un sol en terre-battue qui aurait fait pâlir d’envie un vigneron. Une température quasi constante ou mon « Papy » faisait vieillir des vins de sa sélection. Beaucoup de Bourgogne, vous le comprendrez aisément mais on ne se refait pas !

 

 

Entre nous, j’avais plaisir à y descendre, ce lieu ou je me rafraîchissais de l’été caniculaire Bourguignon, j’observais ces pierres hors d’âge, avec ce rien d’inquiétant, ces bouteilles caressées par les toiles d’araignées ou la poussière avait laissé l’empreinte du temps.

Cette cave c’était mon lieu sacré, tout simplement je m’y sentais bien, aujourd’hui devenue la photo jaunie des souvenirs… Une pointe de nostalgie ? Peut-être, sans aucun doute.

 

 

 

Les Arômes

Les Arômes.

« Nous sommes sur une gamme florale assez étendue et complexe où nous distinguons bien le tilleul, le jasmin, la capucine, l’angélique, l’acacia. Avec des touches de pivoine séchée, et, peut-être même, de fleur de thuya. Quant aux arômes secondaires et tertiaires, qu’il faut savoir mériter […] ils sont, cependant, d’ores et déjà présents, avec des notes assez franches. De litchi, de mangue, de figue, de pamplemousse, à quoi nous ajouterons la pomme caramélisée et la compote de pruneaux ». Ce n’est plus un vin, c’est la boutique de Fauchon !

Certains œnologues et sommeliers charrient. Le dégustateur moyen qui renifle son vin avec désespoir. Se sent honteux.

Au delà des surenchères des spécialistes et des excès de langage, il est exact que les bons vins. Exhalent une extraordinaire variété d’arômes…

J’aimerais bien, puisque le vin se révèle être aussi un sac à malice ou à poésie, humer un jour dans un verre l’arôme si particulier et si recherché de la peau du cou d’une jeune femme amoureuse, dans le parc de Bagatelle, un soir de mai, au soleil couchant, après une matinée de pluie.

« Le pédantisme des grands connaisseurs de crus m’impatiente » (L’empereur Hadrien dans Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar).

(Extrait du dictionnaire amoureux du vin, Bernard Pivot)

 

 

Quant à moi, les anecdotes foisonnent de ces personnages suffisants qui trouvent du muguet ou du potiron vert dans les vins. Comme si le vin était une liste du marché.

Une anecdote m’a pourtant marqué : Le décor se plante dans un chais de la vallée du Rhône, j’avais rendez-vous avec le maître des lieux pour goûter ses vins.

Le jour même de ma venue, un car de touristes (non-prévu au programme) se joint à notre dégustation. Le vigneron humant son verre, se targue devant l’assistance (un public d’une cinquantaine de personnes) de trouver des arômes de mûres.

J’avais beau renifler à exploser mes cloisons, pour moi les notes de mûre étaient inexistantes. Et ce vigneron me regardant l’air hautain et dédaigneux : « Comment !!! Vous ne trouvez pas la mûre !!! ».

J’ai pris congé, en me promettant de ne jamais y remettre les pieds (et le nez), pourtant, dieu sait combien j’aime les chais, les caves et autres endroits bachiques.

Revenons sur la mûre en question. Avez-vous déjà senti une mûre ? Même si elle évoque le grignotage de notre enfance au bord des haies, personnellement je trouve qu’elle ne sent pratiquement rien, par-contre avec du sucre et en confiture… C’est pas mal.

Vous l’aurez compris, j’aime quand un vin à des arômes de vin, suivant les mémoires d’enfance subjectives, avec des notes de jardin de curé et de craie d’instituteur… Surtout d’humilité…

 

 

 

Vin d’honneur

Le vin d’honneur.

Les vignerons sont des auteurs, des artisans, des artistes. Les meilleurs signent leurs œuvres. Les vins français sont d’une diversité stupéfiante. Les plus riches du monde par la palette de leurs couleurs et la carte de leurs saveurs…

J’en fréquente certains plus souvent que d’autres. Question de naissance, de résidence, de voyages, de vacances, d’amitiés, d’affinités, d’opportunités. Mais aucun ne m’indiffère…

Peut-être s’étonnera-t-on que j’évoque souvent avec légèreté et amusement un sujet dont je viens de rappeler qu’il humecte notre bouche et notre âme ? C’est ma manière de le prendre au sérieux…

Il existe une expression qui traduit bien le rôle social du vin dans notre pays : Vin d’honneur.

Demande-t-on de l’honneur à l’eau, au whisky, au pastis, à la kronenbourg, au bloody mary ?…

(Extrait du dictionnaire amoureux du vin, Bernard Pivot)

 

 

Effectivement, le dit « Vin d’honneur » nous rassemble toujours. Souvent pour des instants de joie ou de convivialité. Et il est vrai que jamais je n’ai été convié à une bière d’honneur ou un pastis d’honneur. Ce qui me tend à penser que si un vin est parfois « bourru » il n’en est pas moins sociable.

 

 

Dictionnaire Amoureux du Vin

 

« Le vin ce n’est pas de la petite bière. »

Ce propos je l’ai recueilli dans « le dictionnaire amoureux du vin » écrit par un Académiste Goncourt-ois (je prends des libertés de langue que même Bernard Pivot me pardonneras) car il s’agit bien de lui.

 

 

Journaliste de presse, de radio et de télévision, notre illustre personnage (car à mon sens il fait parti de ces « gueules » de notre culture) a concocté pendant 28 années des émissions littéraires (j’étais un inconditionnel d’Apostrophes).

Enfant de la région Beaujolaise, Monsieur Pivot nous lègue (entre autre) ce dictionnaire amoureux du vin dont je m’inspire et que je vous ferai partager au fil des pages. Mêlant mes impressions avec celle de cet auteur de renom avec mon expérience propre, que j’acquière à chacun de mes voyages-dégustations à travers la France.

 

 

 

…Le vin, c’est de la culture. La culture de la vigne, mais aussi de la culture pour l’esprit… …Dans un temps où le vin n’est pas mieux considéré qu’un alcool de maïs ou de pomme de terre. Rien ne surpasse le pain et le vin dans la mémoire mythique et nourricière de l’homme…

…Comment citer tous les écrivains, d’Homère à Colette, qui ont célébré le vin… …Pour le meilleur et pour le pire, depuis la nuit des temps et jusqu’à la fin du monde, le vin est indissociable de l’aventure de l’homme, de la civilisation, de l’art, du grand mystère du pourquoi et du comment.

Bref, le vin, ce n’est pas de la petite bière.

(Extrait du dictionnaire amoureux du vin, Bernard Pivot)

 

 

 

 

Viognier 2014

Côtes du Rhône 2014 Viognier

Un nouveau coup de cœur pour ce 100% Viognier.

Né de vieux ceps qui au sommet de leur maturité ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Le nez est très séduisant, il associe les notes fruitées du raisin concentré et surmaturé, à la fraîcheur minérale de son terroir. Notre Viognier au meilleur de sa forme, nous dégage des effluves de pâte de coing, d’abricot muri au soleil.

Le palais prolonge ces sensations confiturées et l’emporte par son « gras », son volume impressionnant. Suivi d’un équilibre irréprochable maintenu entre richesse et fraîcheur.

Servi à 12°, il s’accommodera de tous les instants car c’est un « Grand blanc » de gastronomie, à la fois intense et élégant.

 

  • Côtes du Rhône 2014 Viognier
  • Domaine du Grand Bécassier
  • 75 cl 13%
  • Nez séduisant, fruité du surmaturé, arômes de pâte de coing, d’abricots très murs.
  • Volumineux, sensations confiturées, équilibré, intense et élégant.
  • Irréprochable, entre richesse et fraîcheur.
  • A boire, 10° à 12°

 

  • Apéritif, Bar en sauce, poissons nobles, à tous moments, un grand blanc de gastronomie.

 

 

 

 

 

 

Domaine du Grand Bécassier,

Le coup de Coeur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quincy 2015

Quincy 2015

Une merveille de réussite, fruit d’un travail d’alchimiste. La subtilité, la complexité et la pureté du bouquet saisissent les heureux goûteurs de ce Quincy.

L’éclat de cet assemblage “parcellaire” de sauvignon nous provient de notes diffusent de citron, pamplemousse, poire, pêche, feuille de tomates, sous-bois. Sa densité nous entraîne vers ses rondeurs et sa concentration. Sa grâce, son équilibre, son soulignés par une fine vivacité de fruits frais. Un excellent Quincy, riche, intense, au solide potentiel.

Mariez le avec des huitres, des crustacés, un beau plateau de fruits de mer……. Et pourquoi pas en apéritif.

  • Quincy 2015
  • Domaine André Pigeat
  • 75 cl 12%5
  • Bouquet sur fond d’agrumes,
  • Fruits murs et touches végétales,
  • Bouche ronde, grasse, dense,
  • Concentration sans lourdeur,
  • Belle vivacité en soutien.
  • à boire de suite à  12°
  • huitres, poissons, crustacés, plateau de fruits de mer.

 

Avec Mr Pigeat,

ou l’art de faire des assemblages.

 

 

 

 

En pleine fermentation,

au mois de novembre,

je peux déjà évaluer son potentiel….

……Des Sauvignons d’exceptions.

 

 

 

 

 

 

 

Magazine ELLE

 

Magazine ELLE du 8 septembre 2017,

La Hallette Aux Vins a son article dans le carnet “art de vivre”.

 

 

 

 

 

 

Sud-Loire et Bourgogne

Chers Clients et Amis,

Votre Hallette Aux Vins sera fermée du 10 au 15 septembre.

Toujours en quête de curiosités, de nouveautés, de « perles » de nos vignobles. Pendant ces quelques jours je serai en visite-dégustation entre le Sud-Loire et la Bourgogne.

Par « souplesse » commercial (l’abus « d’obligation » est dangereux pour la santé), votre Hallette Aux Vins sera ouverte le mardi 12 et le vendredi 15 septembre le matin.

Je reste joignable sur mon portable (06 47 13 11 34) pour toute demande et renseignements.

Je penserai bien à vous tous durant ce périple, dans la connaissance de vos goûts, de vos attentes, de vos envies.

Hugues NOEL

 

 

INITIATION-DEGUSTATION

ENFIN,

LA SEMAINE PROCHAINE, le lundi 10 juillet, C’EST LA PREMIERE de la saison.

Le premier atelier INITIATION-DEGUSTATION de votre Hallette Aux Vins.

Vous pouvez vous inscrire à la cave ou à l’office du tourisme, alors les amateurs comme les confirmés, vous êtes les bienvenus pour passer une bonne et belle soirée….